Idoria, rescapée du Maelström

Idoria, rescapée du Maelström.

Prologue

Idoria rentre dans l’auberge de la Légion des Ombres, s’assoie à une table ronde et prends une fiole d’hypocras au Cumin. Il fait chaud en se soir si flamboyant, pourtant il règne dans la demeure des légionnaires une atmosphère nostalgique. Beaucoup dorment déjà, d’autres sombrent dans l’alcool ou encore sont parti chasser en solitaire.
A la table se tiens encore un noble Tauren, familier à mes batailles, en combat c’est en Ours robuste qu’il opère on l’appelle le Gardien de Cénarius, Wëllan il n’a pas froid aux yeux mais à maintenant le regard plongé dans le soleil écarlate, en ce moment j’imagine qu’il repense à son séjour dans le rêve d’émeraude. Non loin parle entre eux, Ânaris, un Troll aussi sombre que l’abysse, Shymèr un grand gaillard ainsi qu’un druide énigmatique et Ombremort la Froidemort qui doit déjà avoir bu plus que nous tous réunis se soir. Leur débat s’emblait être porté sur des stratégies de guerre pour le prochain crépuscule, en effet dans deux jours nous prêterons main forte à l’assaut de la Citadelle de la Couronne de glace.

Mais retournons à notre tablée, Wëllan toujours aussi pensif se tenais majestueusement tandis que Pandëmøniüß commence à ronfler légèrement en piquant du nez, lui c’est le dis Pandé, du genre suicidaire, toujours en quête d’action, il maitrise l’art de protéger des dégâts a merveille, Fascinant ! Au fond de la salle j’aperçois Khyss, comme d’habitude cette Elfette corrompue par l’alcool finie toujours par s’écrasée sur une chaise au bout de quelques dizaines de verres, lorsqu’elle est sobre elle sait se battre croyez moi .L’heure tourne, Je commence doucement à m’endormir, lorsqu’Elyabel rentre dans un vacarme sourd dans l’auberge à grands coups de pompes dans la porte. C’était une jeune Trollesse, elle avait vécu et grandie au Village de Sen’Jin en Durotar, fort caractère, elle suivait la voie de la restauration Chamanique.

Elle s’assit sur la table et apporte une tournée de bière Naine, qu’elle avait pillé on ne sait où, d’un coup elle pose le tonnelet sur la table en nous réveillant tous en sursaut, prit quatre verres et les remplis de ce bon cru selon elle. On été tous un peu chamboulés dans l’idée d’aller combattre dans cette citadelle maléfique, Malgré cela la parole s’installe autour de ce tonnelet fraichement ouvert. A cet instant chacun pris une gorgée de bière et commence à recenser les moments fort de sa vie qui pourrais peut être bien être écourtée d’ici une poignée d’heures. Viens mon tour, et Gul’Dan seul sait qu’il s’en ai passé des choses dans cette vie de simple Orque…

Je commence donc à raconter une longue histoire, celle d’Idoria, rescapée du Maelström !

Partie 1
La vie à Mok’Natal

Ce matin là Doxxir n’était pas rentré au village de Mok’Natal, il arriva tardivement, les bras remplis de gibier. Il portait son habits de chasse habituel, Chemise grisâtre, corselet de mailles annelées, de lourdes épaulettes parsemées de piques ensanglantés. C’était l’un des Mok’Natal les plus imposant de tous Draenor, au caractère solitaire, plutôt froid, grand chasseur il y part tous les deux matins. En rentrant au village il fut aidé de suite par les habitants, débarrassé des bêtes, imprégné de sang, son sang, celui des cadavres. Toujours accompagné de ses fidèles loups jumeaux, d’un pelage bleu-gris, aux yeux vert, surnommés Griffe-de-sang et Croc-d’acier, plus cruel et impitoyable encore que leur maître.

Souvent après s’être décrassé à chaque pleine lune, il venait me réveiller, il frappait sur ma porte en criant :
« Idoria ! C’est l’heure ne me fais pas attendre ! ».
Mon père n’était pas simple, depuis la disparition de ma mère il était devenu sombre, il y à 782 jours, cette date reste gravé dans ma mémoire … j’avais 5 ans à cette époque. Ma mère était une orque modeste originaire de Nagrand, fille de spiritualiste, lors d’un raid Eredar sur le village de Garadar, rasant tout sur son passage, tuant hommes et enfants, violant et faisant esclave les femmes, elle fut sauvé par son frère et emmenée au trône des éléments, elle se réfugia là bas pendant deux jours et deux nuits. Malheureusement, elle fût retrouvée par une patrouille qui on fait d’elle une esclave.

Je me levais donc pour aller pleurer ma mère, avec mon père : Doxxir, mon oncle : Rexxar, et leur père : Leoroxx, chef des Mok’Natal. Nous montions alors des drakes de guerre, traversions les Marécages de Zangar, étrange zone, mon père m’avait toujours dit qu’elle était extrêmement dangereuse, mais avait promis de m’emmener faire le tour de Draenor lorsque j’en serai prête et digne. Nous arrivions à Garadar, c’était là le village natal de ma mère : Rudriha, il y régnait une ambiance de plomb comme à chacune de nos arrivées, puis allions prier au Trône des éléments.

Là bas dans la pierre lisse d’une falaise était gravé le portrait de ma défunte mère ; Elle avait de longs cheveux rouge sang, des yeux bleus turquoise, de fines oreilles percées, sur chaque épaules elle avait un tatouage d’une gueule de loup par représentant Griffe-de-sang et Croc-d’acier à qui ils lui devaient la vie, elle était vêtu d’une robe de tissu pauvre et d’épais brassards. Je n’étais pas si triste de venir ici, mais en moi sommeillait une soif de vengeance, de combat, mélange de rage et de haine, de courage et de pitié. Je restais quelques temps à regarder son portrait, elle me ressemblait comme deux gouttes d’eau, en effet nous avions la même couleur de cheveux, des pupilles identiques, à mes yeux elle semblait être mon futur.

A notre retour, le repas été déjà préparé par les femmes du village, comme d’habitude nous installions la grande table dans le bâtiment principal, c’était des moments fort tous le monde, mangeait et buvait à sa guise. Lors des repas du midi, j’avais pour habitude de garder dans mes poches des miches de pain, morceaux de viande ou même de ces légumes qu’on appelait « Cornes de Drame » se sont des légumes orangés de forme allongés qui doivent leur nom à un gout très prononcé d’agrumes, mais surtout extrêmement piquants. A la fin des repas, c’est tous les jours que j’allais en cachette par delà de l’avant poste Sire-Tonnerre, derrière le Cercle de Sang, je recroisais tous les jours cet étrange Draenei. Il devait avoir le même âge que moi, toujours avec son épée de bois dans le dos, je me serais toujours pausé la question, que faisait-il ici tous les après-midis.

Au début nos rapport était évidement chaotique, notre première rencontre fus simplement un affrontement. Ironie du sors nous étions juste à coter d’une arène ou Mok’Natal, Ogres et de pauvres créatures se livraient à des combat sanglant. Subitement nous eûmes des éclats de rire, depuis, je venais tous les après-midis, je venais lui apporté une part de mon repas. Nous passions des heures à regarder les combattants de cette arène, et à copier les faits et gestes.

Plus tard dans la journée, selon mes humeurs, je m’entrainais à monté Griffe-de-sang ou Croc-d’acier, qui partaient comme des furies. Finalement mes plus grosses blessures et cicatrices ne se faisaient pas en combattant l’enfant Draenei, mais en chahutant avec les loups. Après se genre de Journée je ne demandais pas mon reste le matin, et j’allais directement à la couche.

* A l’auberge, Ombremort c’est joints à notre tablée.
« Tu vivais dans la misère et tu partage ton repas avec un Eredar ! » Dis la démoniste.
« Je considérais ce Dreanei comme le seul ami que j’avais eu durant mon enfance. »*

Le temps passait à une vitesse folle, à l’âge de mes douze ans, ma vie prie un tournant important …

Partie 2
Le grand voyage

* « - Ma vie était plutôt paisible dans les Tranchantes, Protégé par les miens, j’avais tous ce dont j’avais besoin, sauf une mère.
- Nous sommes beaucoup dans ce cas, malheureusement, Chamane. Le monde à connut tellement de guerres et de conflits, d’exploits et de terreurs. Les cœurs se durcissent, et finissent par se craqueler. Tant de sang c’est écoulé, tant de tête on été coupées. Tout le monde en souffre. Dis Wëllan »
Les portes de l’auberge s’ouvres, très timidement, lorsque j’aperçois une chevelure dorée, presque blanche comme la lune, cette pleine lune, je suis malheureusement loin de Garadar !
Je me lève dans un enthousiasme sans égal, pour accueillir, la nouvelle arrivée !
« - A quand notre prochaine baston, Légion ?!
- Par Ner’Zhul ! Lyspilone ! Toi ici, je te croyais définitivement établie à Brise-Clémente ! »
Je sers la Paladine dans mes bras, elle me rend mon étreinte.
Lypsilone étais une Paladine imposante, protéger c’est son boulot. Vêtu d’armure en plaques lourdes, d’un bouclier fracassé et d’une épée bien rayée. Malgré cette apparence assez barbare, c’est une très belle elfette. Elle a trouvé l’amour il y a peu, un Jeune Elfe professeur de magie mineure à Brise-Clémente dans la forêt de chants éternels.
« - Qu’est ce qui t’amène ici, Lyspilone ?
- le goût pour cette fichu guerre, peut-être l’envie d’exercer mon sacré plus souvent ou tous simplement quelques affections manquantes. »
Apres les retrouvailles et présentations faites, je reprends mon recit.*

Le jour de mes douze années arriva, se matin j’avais dormi plus tard que les autres jours.
Mon père était venu me réveiller, quelques minutes après que je m’être levée moi-même. C’était un ciel sans nuage qui m’attendais dehors, le soleil brillant dans mes yeux, de suite Leoroxx venait me cherchée, en me demandant de dire au revoir à tous les Mok’Natal qui m’étaient cher. Je m’exécutais, je savais se qui m’attendais prochainement…
Lorsque dix heures sonna, Griffe-de-sang vint me chercher par ordre de mon père, me trainant par la jambe de mon pantalon, se jour la je mettais habillé de mailles. Les épaulettes étaient lourdes, trop lourdes à mon gout, mais se fardeau était rien comparé à ce qui m’attendais durant ces soixante prochains jours, ou peut-être plus. Je portais en mon dos, une planche de bois que j’avais concoctée avec le Draeneai, ainsi qu’une hache plutôt préhistorique.

Par delà du village sous un soleil de plombs nous attendaient deux loups de monte. Doxxir et moi, partions donc pour un voyage autour de Draenor, j’espérais rester deux ou trois jours a Shattrath, croiser les mystiques Sha’Tar. Nous commencions donc notre périple par le Marécage de Zangar, cette contrée m’avait toujours fascinée. Elle était plongée dans un brouillard bleu nuit magnifique, que l’on ne pouvait voir de nos drakes, entouré de champignons géants, de plans d’eaux très irréguliers. Là bas dans plusieurs des tourbières méridionales nous rencontrâmes un peuple très curieux, Les Sporelins mi hommes, mi champignons, dont d’ailleurs ils raffolent, les fameux Chapeluisants. Ce marécage était vraiment dangereux pour une fillette de 12 ans, mais je n’avais pas peur, mon père était là. Pendant qu’il préparait le diner, je jouais avec dans l’eau, essayant de pécher moi aussi des poissons, soudain je me fis emportée par un fort courant chaud.

Lorsque je me réveillai j’étais allongée sur un brancard, tenu par deux créatures que je n’avais jamais vu auparavant. Affolé je sautai du brancard, je me mis à courir, j’étais dans une de ces tourbières, entourée de petits être à la peau grisée, pas plus haut que des Nains, aux yeux bleus brillant et à la mâchoire extrêmement en avant. Ils été Vêtus de capuches et culottes vertes. Certains se lancèrent à ma poursuite, j’étais déjà affaiblie, mais pire encore lorsque je reçue des boules chargée d’éclair, une dans le dos, l’autre dans la jambe gauche. A ma grande surprise, c’était très douloureux, mais aisément supportable, je couru donc de plus belle encore, donnant tous se j’avais. Je m’arrêtais un aussi sec, lorsque que je tombai nez à nez avec la majestueuse citée de Shattrath !

Je tombai de fatigue juste devant deux gardiens Sha’tar…

(up )

(J'ai modéré, pas de flood ici ^^)

Partie 3
L’orphelinat

* «- Cette époque de ma vie fût traumatisante vous savez, la chose que j’attendais depuis la perte de mère, parcourir le monde à dos de loup, à la recherche de la force, du savoir et de la sagesse, quoi que je fût pourtant très espiègle à cette époque de ma vie ! Haha.
Je me souviens encore parfaitement du visage de se Draenei, comme si c’était hier qu’il était venue me chercher. »
Pandémønia me tends une bière et dit
« - Va-y Orque ! Vide ton sac ! Que t’es t’il arrivée ensuite ?! »

Lorsque que je me réveillai, la première chose que je remarquai c’était une horrible douleur dans le dos, une profonde brulure. Lorsque je mis ma main dessus je me prie une sorte de décharge, puis d’un coup la douleur fut comme retranchée dans ma main, tétanisé je me frottai, je m’agitai puis par sagesse me rallongeai. J’essayai de me rendormir lorsque qu’une voix s’adressa à moi.
« - C’est douloureux, gamine ?
- Euh … oui … eff … effectivement très douloureux …
- Fais le vide dans ta tête jeune orque … aller fais donc. »
Cette voix appartenait à un Dreanei. Sa carrure était vraiment très imposante, il porte une longue robe grise avec des tribales roses, d’où semblait sortir une lumière aveuglante, il avait de magnifiques protège épaules formées de cristaux d’un rose éclatant, les cristaux étaient comme en apesanteurs. Assez âgé, son visage était d’un bleu ténébreux, il avait un œil vert pomme et un autre rouge vif, cela me choquai, puis je remarquai une balafre qui traverse ce même œil. Il se rapprochait de moi.
« - Ce … Cette balafre à votre œil gauche est vraiment impressionnante, que vous est t-il arrivé ?!
- … »
Pas de réponse, du moins en apparence, le grand blanc qu’il avait laissé suite à ma question, me fit comprendre que ces yeux plongés dans le néant étaient synonymes d’une profonde blessure, aussi bien physique que moral.

Je vidai alors mon esprit de tous doutes, de tous tourments, quand soudain une puissante lumière se mis à réchauffer l’atmosphère, entourant nos deux corps. Les atroces brulures étaient comme évincé, instantanément. Ce fut mon premier contact avec la magie, fasciné.
Le noble Draenei s’en allait lorsque que je le rattrapai en courant, en lui demandant qu’elle était cette magie, qu’était-il ?! Le Draenei se retourna et me dit avec un air narquois,
« - Je suis Borow, troisième portant du titre de Porte-Lumière, Prince et Paladin du Sacré.
Ce que tu as vu n’était qu’un tour de pacotille, Orque naïve, va donc te reposer… »

Les jours passèrent avec une platitude rébarbative, j’appris vite que j’étais dans un orphelinat, dans les quartiers pauvres et plutôt mal famé de Shattrath, le Ville-Basse ! Au bout de 13 jours mes jambes commencèrent à s’ennuyer de ces quelques mètres que nous laissait parcourir celles qu’on appelait les sœurs de l’espoir, les fondatrices de l’orphelinat, une Orque et une Dreanei plutôt humble de leurs nombreux exploits, des dizaines d’enfants sauvés. Elles étaient toutes deux très jeunes, très bonne cuisinières et de bons conseils, certains enfants les considéraient comme leurs mères, c’est vrai qu’elles sont tendres et chaleureuses.

Le matin de la quatorzième journée je m’échappai de l’orphelinat pour visiter un peu la Ville-Basse.

*Toute la tablée s’étonna !
« - Tu pars dans la Ville-Basse toute seule à 12 ans ! Quelle insouciance !
- Comment aurai-je pu savoir ce qui m’y attendait ! »*

Partie 4
Les mercenaires

Dès ma sortie de l’orphelinat, l’ambiance était changé, le jour à peine levé, le vent soufflait violement et portait des bruits de fer fracassés. Je me dirigeai vers ces derniers, lorsque que je tombai nez à nez avec un Ogre vêtu d’un tablier de mailles, entrain de frappé sur une épée écarlate, encore coulante de flammes et de lave. L’Ogre me remarqua et me fit signe d’approché, les finitions de l’épée n’étaient pas très avancées, elle semblait être lourde.
A cette lame il enfourna une poignée de cuir lacérer, puis chauffa une goupille de métal pour relier le tous, et s’en alla l’entreposé devant une tente proche.
« - Tu cherche une bonne lame petite ?! Tu as trouvé le bon coin, Veinarde ! Tous se que tu voies là est à 215 pièces d’argent gamine !
- Des … pièces d’argent ?!
- Tu ne crois quand même pas que cela sera gratuit ! »

Je fis demi-tour et continuai à me balader, là j’aperçu une créature étrange, un dragon aux ailes translucides, un corps musclé, une gueule féroce aux dents acérées. J’avais déjà vu cela auparavant, ont les appelait les Drakes du Néant, ces dragons apprivoisés étaient le reflet d’un persévérant dressage et d’un courage certain. J’étais émerveillé par ces créatures, mais je continuai ma route.

Durant ma balade dans la Ville Basse, je croisai bon nombres de marchands de nourritures et de boissons, l’appétit ne se fit pas attendre. Je m’arrêtai donc devant un marchand de fruits, et je demandai naïvement au marchand un fruit, en posant la main sur une poigné de cerise de Nagrand. Elles me rappelaient les jours de mon enfance passés en Nagrand … Le marchand furieux que je lui ai volé quelques cerises sans payé commença à me violenter.
« - Sale voleuse ! Je vais t’arracher les tripes et récupérer mes fruits ! » Dit-il en attrapant mon col. A ce moment précis je senti en moins monté une rage, douce mais ardente à la fois, et je saisi le poignet de l’ogre, et serra très fort, de toutes mes forces, jusqu'à en avoir mal aux doigts. Cette sensation semblais éphémère, comme une implosion qui part du cœur et qui s’échappe par les mains, puis plus rien, juste le cri effroyable du marchand dont le poignet semblais brulé. Cet instant fut suivi d’un violent coup de boule de l’appart de l’ogre plus apeuré que jamais.

Après cet incident je fus très troublée, que c’était il passé, je n’avais jamais ressenti cela, pourquoi les flammes ne m’avaient elles pas brulées ? Alors que je méditais en pleure dans un coin de ce bidonville, une « momie » s’approcha de moi et me tendit une pomme de cactus.
« - Mange je viens de les achetées. Et sèche tes larmes.
- Me … merci… »
Bizarrement je senti aucun danger en présence de cet être. La pomme était horriblement acidulée, sa chair était orange et trop tendre. Lorsque je leva les yeux pour dire à la momie à quel point cette pomme était immonde, je fut surprise...
« - Immangeable n’est ce pas !» C’était Borow accompagné de trois autres créatures, la momie en question, un ogre étrangement petit et un ravageur d’une beauté inégalable.